Le 18-07-2009 • Pays : Italie
Enfin, le jour du départ est arrivé. Après un court vol Paris => Milan pour Gaetan, Samuel et moi, on retrouve Rodolphe et Madeleine chez des amis à lui. Une pizza et on est près à retrouver notre voiture... que l'on a pas revu depuis la Lozère. On constate avec grand plaisir le super travail de Rodolphe, Julien, Jean-Claude et Simon. Une nouvelle galerie sur le toit, une entrée d'air sur le capot (pour traverser les rivières), une plaque en aluminium pour protéger le moteur, une seconde batterie, des chargeurs et transformateurs...
Et les autocollants des sponsors déjà collés sur la voiture.
Bon, évidement, ça serait pas drôle si tout était parfait. Dans la liste des petits problèmes, les deux vitres avant électriques ne fonctionnent plus. Celle de droite ne fonctionne pas du tout quant à celle conducteur fonctionne grâce à un système de cales en bois.
Dans le même genre, la boite de vitesse laisse couler de l'huile... Heureusement, le rythme de perte est assez limité mais on va devoir y faire attention pour éviter de la casser au milieu du désert Ouzbek!
Enfin, le voyant de la batterie s'allume sans raison particulière ... Surtout que l'on en a deux avec un système pour les gérer. A surveiller!
Évidement, il en faut bien plus pour entamer notre moral, en particulier lorsque l'on arrive au point de départ du Mongol Rally et que l'on rencontre (enfin) les autres équipes et leurs véhicules.
Bonne nouvelle, les autres équipes sont à peu près autant préparées que nous (ou tout aussi inconscient certains diront). Toute l'excitation et - des mois de préparation (couplée avec un candide optimisme général) est palpable.
Toutes les voitures sont exposées. Beaucoup de Fiat Panda (Italie oblige), un magnifique camion de pompiers repeint par 4 Allemands, la C15 de nos amis Raskass (25 ans d'âge mais le talent mécanique en plus) et, pire, 4 Italiens vont essayer de rejoindre Oulan-Baator en Vespa (petits scooters)...


Deux autres équipes, suédoise et anglaise, ont le même véhicule que nous (Skoda Felitia break). On en prend note... On sait jamais, il peut nous manquer des pièces un jour ;)
15 h 20, on prend la route. Il y a pas mal de spectateurs sur le départ et on part sous les applaudissements! Rien que partir représente une victoire en soit tant l'organisation d'une telle aventure est longue...
On se dirige plein est. Avec comme premier objectif: Venise. En effet, plus tôt ce matin, en regardant notre Roadbook. Je réalise que l'on passe à quelques kilomètres de Venise. Ça peut paraître ridicule de ne pas avoir réaliser ça auparavant mais lors de la planification du voyage, on était tellement focalisé sur les pays et la route en tant que tel que l'on a oublié de regarder ce genre de merveilles que l'on pourra croiser sur notre route.

Connaissant un peu Venise, je m'improvise guide dans les ruelles. Ainsi, inévitablement, on se dirige vers le Rialto puis la place Saint Marc. Toujours aussi sublime malgré les quelques touristes.
On savoure ce début de l'aventure. Autant les grandes lignes sont connues, autant le bonheur de toutes ces imprévus reste à venir.



On reprend la route pour une heure pour se garer sur le parking d'un centre aquatique après avoir échoué à trouver un camping.
Signé: Sylvestre
Position: Une aire d'autoroute en Hongrie (entre la frontière croate et Budapest) via le téléphone satellite! (ça marche super bien d'ailleurs). Merci E-sat!
Traces GPS :
Premier jour

Bon, évidement, ça serait pas drôle si tout était parfait. Dans la liste des petits problèmes, les deux vitres avant électriques ne fonctionnent plus. Celle de droite ne fonctionne pas du tout quant à celle conducteur fonctionne grâce à un système de cales en bois.
Dans le même genre, la boite de vitesse laisse couler de l'huile... Heureusement, le rythme de perte est assez limité mais on va devoir y faire attention pour éviter de la casser au milieu du désert Ouzbek!
Enfin, le voyant de la batterie s'allume sans raison particulière ... Surtout que l'on en a deux avec un système pour les gérer. A surveiller!

Bonne nouvelle, les autres équipes sont à peu près autant préparées que nous (ou tout aussi inconscient certains diront). Toute l'excitation et - des mois de préparation (couplée avec un candide optimisme général) est palpable.
Toutes les voitures sont exposées. Beaucoup de Fiat Panda (Italie oblige), un magnifique camion de pompiers repeint par 4 Allemands, la C15 de nos amis Raskass (25 ans d'âge mais le talent mécanique en plus) et, pire, 4 Italiens vont essayer de rejoindre Oulan-Baator en Vespa (petits scooters)...



15 h 20, on prend la route. Il y a pas mal de spectateurs sur le départ et on part sous les applaudissements! Rien que partir représente une victoire en soit tant l'organisation d'une telle aventure est longue...
On se dirige plein est. Avec comme premier objectif: Venise. En effet, plus tôt ce matin, en regardant notre Roadbook. Je réalise que l'on passe à quelques kilomètres de Venise. Ça peut paraître ridicule de ne pas avoir réaliser ça auparavant mais lors de la planification du voyage, on était tellement focalisé sur les pays et la route en tant que tel que l'on a oublié de regarder ce genre de merveilles que l'on pourra croiser sur notre route.


On savoure ce début de l'aventure. Autant les grandes lignes sont connues, autant le bonheur de toutes ces imprévus reste à venir.



On reprend la route pour une heure pour se garer sur le parking d'un centre aquatique après avoir échoué à trouver un camping.
Signé: Sylvestre
Position: Une aire d'autoroute en Hongrie (entre la frontière croate et Budapest) via le téléphone satellite! (ça marche super bien d'ailleurs). Merci E-sat!
Traces GPS :
Premier jour